La Galerie d'art Warren G. Flowers a le plaisir de présenter le travail de l'artiste Kim Vose Jones. Diplômée du Collège Dawson en 1992, l'artiste vit aujourd'hui à Fredericton, au Nouveau-Brunswick. Elle y a créé une installation multimédia riche, qui explore les dichotomies et les paradoxes de la vie des migrant·es d'hier et d'aujourd'hui.
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La Galerie d'art Warren G. Flowers a pour mission de faire découvrir l'art à la communauté du Collège et aux membres du public, de les outiller et de les inspirer en présentant diverses pratiques artistiques contemporaines. Située au 4001, boul. de Maisonneuve O., dans la salle 2G.O, près de l'entrée du Collège, la Galerie présente des œuvres de membres de la population étudiante, du corps professoral ou du personnel, actuel·les ou ancien·nes, ainsi que d'artistes contemporain·nes du Canada et de l'étranger.
L'année à venir sera marquée par une série d'expositions, à commencer par Lifeboat : An Unnatural History, qui présente le travail d'une ancienne élève de Dawson, Kim Vose Jones. Le vernissage aura lieu le jeudi 11 septembre à 17 h et l'exposition se poursuivra jusqu'au 18 octobre.
Cet automne à la Galerie :
Venez visiter la Galerie à la salle 2G.0, du lundi au vendredi, de 11 h à 19 h, et le samedi, de 11 h à 17 h.
La Galerie d'art Warren G. Flowers présente une exposition de Kim Vose Jones, diplômée du Collège Dawson en 1992, qui vit aujourd'hui à Fredericton, au Nouveau-Brunswick. C'est en faisant des recherches sur la généalogie de sa famille que Jones a découvert qu'une de ses ancêtres, Anne Dodin, était arrivée au Québec en 1669, en même temps que 800 jeunes filles françaises. Ces dernières, qu'on appelait alors les Filles du roi, s'embarquaient pour le Nouveau Monde afin de peupler la colonie française. Dans ses quatre représentations magistrales, Jones établit un parallèle entre le destin d'êtres humains fuyant le génocide, la guerre et la pauvreté à travers le monde, et elle entrecroise des thèmes comme le traitement des femmes, l'environnement et les projets coloniaux de l'époque et d'aujourd'hui.
Sarah-Mecca Abdourahman est une jeune artiste basée à Ottawa. Son travail est profondément personnel et explore les thèmes de l'enfance, de la nostalgie et de l'expérience diasporique. Elle explore ces thèmes dans son exposition actuelle, Memories We Carry, Stories We Heal, à la Warren G. Flowers Art Gallery du 27 mars au 3 mai 2025. Deux étudiants en deuxième année d'Arts visuels , Tristan...
La communauté de Dawson est invitée à la Galerie d'art Warren G. Flowers aujourd'hui, le 27 mars, dès 17 h, pour un vernissage et une rencontre avec Sarah-Mecca Abdourahman dans le cadre du lancement de Memories We Carry, Stories We Heal, une exposition de ses nouvelles œuvres.
En quête perpétuelle de liens avec les pays d'origine de ses parents, la Somalie et l'Inde, Sarah-Mecca crée des œuvres qui explorent les thèmes contrastants de la hantise et de la guérison. Elle transpose son hisotire sur des couvertures peintes au moyen de médias multiples et des installations qui évoquent à la fois l'enfance et le traumatisme ancestral.
Sarah-Mecca fera une visite guidée de l'exposition à 17 h, puis le vernissage suivra. Tout le monde est le bienvenu. L'exposition se poursuivra jusqu'au 3 mai.
Le département de photographie présente Continuum, une exposition qui met en valeur les travaux des étudiant·es qui termineront bientôt leur programme de trois ans.
L'exposition Continuum célèbre leur passage vers le milieu professionnel et donne un aperçu des divers moyens acquis par cette cohorte pour explorer et représenter la culture contemporaine. Démontrant à la fois l'expertise technique et la créativité des étudiant·es, les oeuvres présentées sont témoins d'un parcours transformateur, illustrant non seulement la progression individuelle, mais aussi celle du programme, en constante évolution, qui a donné lieu à cette progression.
L'exposition est présentée du 5 au 13 décembre à la Galerie d'art Warren G. Flowers de Dawson.
Re-Assembly : Emboldening the Temporal expose les travaux d'anciens étudiants du programme Arts visuels de Dawson au cours des 20 dernières années, réunis par leur professeur Giuseppe (Joe) Di Leo (professeur retraité des Beaux-Arts). L'exposition, présentée à la Warren G. Flowers Art Gallery de Dawson jusqu'au 27 novembre, met l'accent sur le partage d'idées par le biais de...
Cette année, la galerie d'art Warren G. Flowers a invité des étudiant·es autochtones, dont Julia Clement (conservatrice) et trois artistes, soit Shayla Chloe oroho:te Etienne, Angela Ottereyes et Tapisa Tulugak, à présenter des œuvres dans la vitrine de l'atrium supérieur à l'occasion de la Semaine de la vérité et de la réconciliation.
Ces artistes y ont affiché des peintures acryliques (Etienne), une linogravure sur papier accompagnée d'un poème (Tulugak), des tenues cérémonielles cousues à la main, dont une robe à clochettes et une jupe à rubans accompagnée d'un poème (Ottereyes). Ensemble, leurs œuvres rendent hommage aux survivant·es des pensionnats et à leurs familles, et créent de l'espoir et de la beauté pour les générations à venir.
L'exposition est située juste à l'extérieur de la galerie d'art Warren G. Flowers dans l'atrium supérieur et se poursuit jusqu'au dimanche 6 octobre.
─Article soumis par Rhonda L Meier
O.M. : Cette exposition explore l'histoire de l'art queer à travers les ragots. Pourquoi était-il important pour vous de montrer l'histoire de l'art queer à travers les ragots, d'autant plus que l'on peut affirmer que les ragots ont eu un impact négatif sur les jeunes queers (par exemple, les rumeurs sur la sexualité d'une personne). (Par exemple : les rumeurs sur la sexualité d'une personne). C.P. : C'est une bonne question, et elle m'est venue à l'esprit...
La galerie d'art Warren G. Flowers est ravie d'accueillir l'artiste de Vancouver Cassia Powell. Les œuvres de son exposition « in between you and me » seront présentées aujourd'hui (jeudi 29 août). Une conférence de l'artiste aura lieu dans la galerie à 16 heures puis la réception d'ouverture se tiendra à compte de 17 heures.
Selon la définition de Gavin Butt, cet ensemble d'œuvres explore « l'activité sociale qui engendre et maintient les filiations au sein de la communauté artistique », c'est-à-dire le potinage. À l'aide de sculptures souples et de peintures à l'huile, Powell explore l'intimité, la vulnérabilité, l'envie de raconter des histoires et la construction d'un monde. Le potinage est présenté comme une forme d'histoire de l'art non conventionnelle, une caractéristique inéluctable de la vie artistique urbaine et un moyen de construire des communautés queer et artistiques.
- Article de Rhonda Meier
Dernière modification : 11 septembre 2025
