Comment décririez-vous votre philosophie d'enseignement ? L'enseignement dépend moins de la qualité de la présentation de l'enseignant que de la compréhension de l'élève. Si un élève sait déjà tout, il n'a pas besoin de venir en classe. S'il vient en classe, c'est parce qu'il veut apprendre quelque chose. Non seulement je...
Comment décririez-vous votre philosophie d'enseignement ? Dans le flou du semestre, l'enseignement semble trop insaisissable et trop organique pour une philosophie stable et réfléchie. Idéalement, chaque cours est aussi spontané qu'une conversation. La plupart du temps, j'ai l'impression d'être un vaudevilliste mal réveillé qui essaie de faire entendre aux étudiants le son de leur propre...
Comment décririez-vous votre philosophie d'enseignement ? Je n'y ai pas vraiment réfléchi. S'il y a une chose qui me semble la plus importante, c'est l'attention portée à nos élèves. Je me rends compte qu'ils traversent la vie, tout comme nous. Ils ont des hauts et des bas, des objectifs et des luttes. Nos cours ne sont qu'une petite étape...
Comment décririez-vous votre philosophie d'enseignement ? Mon cours vise à créer un environnement ouvert et sûr où les étudiants se sentent à l'aise pour poser des questions et dire ce qu'ils pensent et ressentent vraiment, tout en créant des liens avec leurs camarades de classe. J'ai développé une méthode particulière que j'aime que les étudiants découvrent naturellement au fur et à mesure du semestre. I...
La Presse a lancé cette semaine Comprendre. Il s'agit d'une nouvelle section du quotidien français en ligne qui compile des textes sur des sujets majeurs et aide à répondre aux questions les plus courantes.
L'un des objectifs du journal est de fournir aux jeunes des informations fiables et d'aiguiser leur esprit critique.
Comprendre est publié le lundi et le mardi, une lettre d'information Comprendre est envoyée par courrier électronique aux personnes qui s'y sont inscrites.
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La pétition de l'Association étudiante de Dawson demandant au gouvernement du Québec d'exempter les étudiant·es autochtones de la loi 14 recueille de plus en plus de signatures. Au moment d'écrire ces lignes, elle en comptait 2 038. La DSU demande votre aide pour signer et faire circuler la pétition à l'approche de la mi-campagne.
« À l'occasion de la Journée nationale pour la vérité et la réconciliation, le 30 septembre, chacun·e peut soutenir concrètement l'avenir des peuples autochtones », a déclaré Leilah Doyle, vice-présidente des affaires extérieures de la DSU.
« Nous exhortons la communauté étudiante ainsi que les Québécoises et les Québécois à se solidariser avec les jeunes autochtones et à leur prêter une oreille attentive. C’est d’ailleurs l’occasion pour les jeunes cégepien·nes de participer, puisque la pétition est ouverte aux moins de 18 ans. »
Voici tous les liens à partager :
La DSU sera présente sur le campus, du 23 au 27 septembre, pour faire de la sensibilisation et susciter la mobilisation. D'autres actions sont également prévuess, dont l'organisation d'une délégation à Québec en octobre.
La pétition de l'Association étudiante de Dawson visant à exempter les étudiant·es autochtones de la loi 14 a fait la une des journaux à la fin du mois d'août, alors que la campagne de mobilisation commençait.
27 août – communiqué de presse de l'Association étudiante de Dawson
Du 26 au 28 août, l'Association étudiante de Dawson s'est installée à l'étage supérieur de l'atrium pour recueillir des signatures afin d'appuyer les étudiant·es autochtones touché·es de manière disproportionnée par la loi 14 (anciennement appelé projet de loi 96). Cette pétition destinée à l'Assemblée nationale du Québec est parrainée par la députée de Westmount-Saint-Louis Jennifer Maccarone, qui est venue sur place le 27 août pour prêter sa voix à la cause.
Beaucoup d'étudiant·es autochtones affirment que la loi 14 va à l'encontre de leur droit constitutionnel à l'autodétermination en matière d'éducation, y compris la possibilité d'apprendre dans leur propre langue autochtone, considérée comme une priorité. Les nouvelles exigences liées à la maîtrise du français constituent un obstacle important quant à l'accès à l'enseignement postsecondaire. Les Autochtones considèrent également qu'il s'agit d'un frein bureaucratique vers leur réussite.
La pétition visant à exempter les étudiant·es autochtones de la Loi 14 a déjà recueilli 1 600 signatures, mais ce n'est pas terminé.
Vous pouvez signer la pétition d'ici la date limite du 30 septembre.
Kayla Spencer-Young, une étudiante de Dawson qui sera diplômée en sciences pures et appliquées le mois prochain, et Rotshennón:ni Two-Axe (promotion 2023, Sciences de la santé) seront en vedette dans la série télévisée Warrior Up présentée sur la chaîne APTN. Cette série suit de jeunes activistes autochtones de 15 à 26 ans qui relèvent des défis et apportent des changements positifs dans leurs communautés et ailleurs. Kayla et Rotshennón:ni ont été choisis parce qu'ils ont fondé IndigeSTEM, une initiative qui a remporté un prix Forces AVENIR en 2022.
La diffusion de la série est commencée et se poursuivra pendant une dizaine de semaines. Vous pouvez suivre la page de Warrior Up sur les médias sociaux pour plus d'information sur les émissions à venir : https://www.facebook.com/WarriorUpTV
https://www.instagram.com/warrioruptv/
Kayla a récemment été interviewée par CBC North pour faire la promotion de la série : https://www.cbc.ca/listen/live-radio/1-145/clip/16063540 https://www.cbc.ca/listen/live-radio/1-145/clip/16063540
Kiera Robak a reçu la Médaille du lieutenant-gouverneur pour la jeunesse lors d'une cérémonie qui s'est déroulée le 20 avril. Sa candidature avait été soumise par Sandra Gravel et Trudy Ste. Croix, des Services aux étudiant·es.
Ce prix récompense l'engagement bénévole soutenu ou une attitude inspirante et déterminée ayant une influence positive sur la société.
Cliquez sur le lien ci-dessous pour lire une entrevue avec la principale intéressée, publiée sur la page d'accueil du Collège.
Dernière modification : 10 octobre 2024
