Un projet mené par la population étudiante du Collège Dawson a remporté le prix provincial Forces Avenir dans la catégorie Entraide, paix et justice. Le 27 septembre dernier, lors d’un gala à Québec, le prix a été remis à un groupe de diplômé·es et d’étudiant·es du Collège Dawson qui ont fondé l’initiative Mahsa Amini.
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Sur un nombre record de 81 candidatures provenant du Collège Dawson, trois étudiant·es ont été sélectionnés comme demi-finalistes pour l’édition 2023 du Prix des écrivains collégiaux de la Quebec Writers’ Federation (QWF). Le prix 2023 sera annoncé lors du gala de la QWF le 13 novembre prochain.
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Les étudiant·es du programme d’Illustration du Collège Dawson qui ont illustré les 17 objectifs de développement durable ont remporté le concours d’art étudiant 2023 deCollèges et Instituts Canada.
Stéphanie Aubin, co-directrice et enseignante du programme nous explique que « 36 étudiant·es en illustration ont collaboré à ce projet de fanzine dans le cadre de l’initiative du Bureau du développement durable. Les étudiants et les étudiantes devaient créer une illustration évocatrice et puissante au premier coup d’œil. Elle pouvait être basée sur une expérience personnelle ou un fait documenté. Chaque personne a abordé son sujet différemment, ce qui rend le projet vraiment unique ».
Trois des étudiants gagnants ont partagé leurs réflexions sur le projet. Cliquez sur le lien ci-dessous ci-dessous pour lire les trois interviews et pour un lien vers les deux fanzines de l'art SDG.
Le 29 septembre, le programme de conception de jeux vidéo indépendants a organisé une soirée de test de jeux indépendants très réussie.
Audrey Vanasse, de l'équipe Formation continue et services à la communauté, a indiqué que
Elaine Gusella, coordonnatrice de notre programme de conception de jeux vidéo indépendants, déclare : "Nous recevons déjà beaucoup d'intérêt pour la prochaine édition, que nous espérons organiser en novembre (date à déterminer). Nous sommes impatients d'organiser d'autres événements aussi souvent que possible".
L'écrivaine Sarah Gilbert (Faculté d'anglais) est née aux États-Unis, a grandi à Winnipeg et a vécu à Ottawa avant de s'installer à Montréal. Depuis trois décennies, elle vit dans le quartier du Mile End, où elle a choisi d'élever sa fille.
"Le Mile End est une véritable muse. C'est un quartier très dense où il se passe beaucoup de choses", a-t-elle déclaré lors d'un entretien avec le bureau de communication de Dawson. "J'avais acquis des tonnes de contenu sans m'en rendre compte.
Our Lady of Mile End (Anvil Press, 2023) est un recueil de nouvelles sur "l'embourgeoisement et le déplacement dans un quartier autrefois abordable qui subit de plein fouet les transformations sociales et culturelles".
"Les vies superposées des filles et des femmes, des locataires et des propriétaires, des voisins et des étrangers, de l'ancienne génération et de la suivante, décrivent les tensions et les affections entre les personnes vivant dans une communauté qui s'est transformée en destination", peut-on lire sur le site web d'Anvil Press.
Sarah voulait que sa fille grandisse dans un endroit où elle connaîtrait les voisins. Lorsqu'elle a eu son bébé, elle a eu "carte blanche pour parler à n'importe qui", dit-elle.
Le projet de livre fictif est né d'un blog que Sarah a créé et qui s'intitule Mile Endings en 2008. Il s'agissait d'un projet journalistique dans le cadre duquel Sarah a documenté la fin d'entreprises et de personnages du quartier, ainsi que certains des nouveaux départs du quartier en transition.
Le Mile End est toujours une véritable communauté, affirme Sarah, qui cite la densité et la possibilité de se déplacer à pied comme des facteurs importants pour favoriser la communauté. Les lieux de rassemblement du quartier, comme les cafés, la bibliothèque, l'épicerie locale et l'école, sont également importants.
"J'observe le quartier en me promenant", dit-elle. "Il y a des voisins qui se connaissent et qui envoient leurs enfants dans la même école en haut de la rue, et il y a beaucoup d'artistes. Il y a des gens que l'on voit régulièrement et que l'on ne connaît peut-être pas, mais qui font partie de notre paysage personnel.
Dans le cadre de notre objectif d'atteindre 1 000 espèces identifiées sur le campus du centre-ville de Dawson en 1 000 jours, notre total s'élève maintenant à 810 espèces ! Au cours des deux dernières semaines, il y a eu :
"L'observation nocturne de la biodiversité que nous avons effectuée la semaine dernière y a largement contribué", a déclaré Brian Mader, chef de projet et professeur de biologie. "Deux enseignants, un membre du personnel, cinq élèves et un ancien élève sont restés jusqu'au coucher du soleil et au-delà avec des pièges à insectes pour observer la biodiversité nocturne.
"Les élèves ont pu observer plusieurs chauves-souris et une moufette ! Bien que les photos ne soient pas très bonnes pour ces organismes, les élèves ont pu prendre de belles photos d'un mille-pattes (Cassiana Silva-Young, Enriched Pure & Applied Science) et d'un grillon arboricole à ailes étroites (Jacob Davies, Sciences de l’environnement).
Les études Nord-Sud sont désormais rebaptisées profil Changement social et solidarité dans le cadre de la nouvelle révision du programme Sciences humaines , qui a accueilli ses premiers étudiants cet automne.
Les étudiants qui envisagent d'étudier les sciences sociales sont invités à faire partie d' une petite communauté engagée, tout en nouant des amitiés durables, en apprenant et en travaillant pour la justice sociale et environnementale. Le profil Changement social et solidarité offre une introduction significative aux sciences sociales, donnant aux étudiants les outils théoriques et pratiques pour comprendre et analyser les contextes sociaux, politiques, économiques et historiques du monde qui les entoure. Le cœur du programme est constitué d'un projet et d'un voyage dans le Sud ou d'un projet local de collaboration pratique.
Une vidéo a été réalisée pour célébrer l'héritage des 30 années d'existence de Nord-Sud et se tourner vers l'avenir du nouveau profil. Elle comprend des interviews d'enseignants, de diplômés et de retraités.
Cliquez sur le lien ci-dessous pour voir la vidéo.
Chris a partagé son expérience avec le Bureau de la communication : "En 2015, il a traversé le Pacifique de Vancouver à Shanghai à bord du porte-conteneurs Hanjin Geneva. Le voyage faisait partie de Twenty-Three Days at Sea : Une résidence d'artistes itinérante par l'intermédiaire d'Access Gallery, Vancouver. Pendant le voyage, j'ai été considérée comme "en résidence". Le voyage a duré exactement 23...
Lorsque nous annonçons à nos collègues que le programme Techniques de gestion et d’intervention en loisir (TGIL) emmène des élèves des trois années d'études en camp pour leur expérience d'automne en plein air, nous recevons des réponses très variées et rencontrons un éventail de réactions allant de l'envie à la curiosité.
La plupart des gens, même ceux qui vivent pour les activités de plein air et l'immersion dans la nature, ne sont pas conscients des avantages et des apprentissages qui ont lieu lorsque tout le département TGIL , les étudiants et les professeurs, se rassemblent pour un stage intensif de cinq jours dans un camp de vacances pendant le week-end de la fête du travail.
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La conférence sur les sciences humaines et la vie publique s'est déroulée du 18 au 21 septembre. Le thème de cette année était " What's the Point ? Le but, le sens et la valeur en ces temps difficiles. Pendant quatre jours, plus de 2 000 étudiants ont assisté à 20 présentations différentes.
Nos présentateurs ont exploré comment l'enseignement des sciences humaines peut nous aider à poser les grandes questions qui guident nos actions quotidiennes, en nous aidant à comprendre ce à quoi il faut accorder de la valeur et pourquoi. Deux anciens étudiants de Dawson, Silvia Ortan et Andreas Nicolaidis-Gagnon, ont notamment expliqué comment ils utilisent ce qu'ils ont appris en sciences humaines dans leur carrière (droit et travail social). Dans l'ensemble, on nous a rappelé une fois de plus l'impact que les sciences humaines peuvent avoir pour nous aider à naviguer dans un monde complexe et souvent déconcertant. De la montée du terrorisme du "white power" au rôle que jouera l'IA dans la créativité, nos présentateurs ont aidé les étudiants à comprendre comment ce qu'ils apprennent dans leurs cours de sciences humaines s'intègre dans les situations du monde réel.
Nous tenons également à remercier l'administration de Dawson, FAMA, le département théâtre et David Bannout. Nous remercions tout particulièrement Diana Rice pour avoir coordonné les trois conférences de la semaine de la paix pendant la conférence. Sans votre aide, nous n'aurions pas pu offrir à nos élèves une semaine aussi enrichissante !
Dernière modification : 11 octobre 2023
