La Warren G. Flowers Art Gallery a le plaisir d'accueillir la 14e Biennale de la Faculté des beaux-arts, qui ouvrira ses portes le 23 janvier et sera présentée jusqu'au 19 février 2020. L'exposition présente un large éventail de pratiques et de thèmes contemporains, provenant de dix-neuf chefs de file des communautés artistiques et universitaires de Montréal.

En 1992, Andres Manniste a lancé la première exposition biennale de la faculté des beaux-arts du Collège Dawson. Membre senior très respecté de la faculté, Manniste était motivé par le désir de partager avec la communauté Dawson les pratiques riches et variées du département des beaux-arts en matière d'arts visuels.

Les étudiants diplômés du programme de photographie commerciale de l'AEC dévoileront leur portfolio le 17 décembre dans la galerie Warren G. Flowers. Le vernissage débutera à 18h30. Tout le monde est invité à rencontrer, saluer, s'émerveiller et célébrer. Les diplômés sont Laith Al-Omaishi, Fabiane Amorim, Julia Brailovski, Alan Busch, Jonathan Chang, Julien Frechet, Seyedamir Ghazimirsaeid, Yuefeng Jiang, Ava Kiaie, Tim Laur, Gwendal Lemarchand, Maryam Lolo, Willfrance Louisaint, Ann McCarthy, Ludwing Montoya, Roshayne Morrison, Zaafir Pondor, Yana Povelytsya, Ao Shi, Kaven Tremblay, et Carolina Perez Zapata.

Dix-huit étudiants de Dawson Photographie présentent le meilleur de leurs travaux de fin d'études. Avec : Victor Ahn-Royer, Andriana Alevizos, Megan Antonucci, Jamie Baibos, Laurie Coronel, Xavier De Belle, Cedric De Ocampo, Janelle Fermin, Angela Harvey, Kayla Lacasse, Martin Loh, Dalia Nardolillo, Argyro Quatredeniers, Kaitlynn Rodney, Vu Mylène Tat, Brandon Tran, Natasha Villeneuve, et Erika Violo.

Reclaiming My Place est une exposition collective présentant les œuvres de Sharon Norwood (Toronto/Savannah), Shanna Strauss (Montréal/Bay Area,CA) et Cedar-Eve (Tiohtià:ke/Toronto). Sous la direction de Cécilia Bracmort, leurs œuvres présentent des stratégies de lutte contre l'oppression structurelle dans une perspective féministe et décoloniale. Mélange de résistance et de résilience, les œuvres de ces artistes repoussent les frontières de la représentation et décloisonnent le paysage imaginaire. Répondant à l'appel de cette voix intérieure, elles interceptent les messages de leurs ancêtres et les transmettent aux générations futures à travers leurs pratiques artistiques.

Les dernières décennies du vingtième siècle ont vu l'arrivée de l'humble télécommande, qui a permis aux consommateurs de médias d'exercer un nouveau pouvoir sur leurs téléviseurs, magnétoscopes, lecteurs de DVD et autres appareils électroniques. Avec leurs lignes épurées et leurs designs nets, les télécommandes ont traduit l'idéologie militariste de commandement et de contrôle de l'époque de la guerre froide sous une forme esthétique et l'ont infiltrée dans les salons du monde entier. Télécommandes en main, les consommateurs sont devenus des empereurs et des généraux en fauteuil. Dans son exposition Remote, l'artiste Edwin Janzen braque les projecteurs sur ces artefacts électroniques grand public pour explorer le monde de l'ombre de l'obsession de l'humanité pour les technologies de contrôle.

Rebellion of my Ancestors est imprégnée de l'histoire familiale de Jobena Petonoquot et de ses intersections avec l'histoire de la colonisation au Canada. Les œuvres perlées de Petonoquot enregistrent les souvenirs et les histoires de sa famille ; les photographies, les sculptures, les gravures et les installations articulent une résilience autochtone sans compromis et une continuité culturelle.

Jobena Petonoquot est née à Maniwaki et a grandi dans la réserve de Kitigan Zibi, où elle vit et travaille actuellement. Diplômée de l'Université Concordia en 2012, Petonoquot s'est spécialisée dans l'histoire de l'art et a complété une mineure en photographie.

Le département des beaux-arts du Collège Dawson est fier de présenter le travail culminant de sa cohorte 2017-2019 d'étudiants Arts visuels . Des travaux dans une variété de médias seront présentés dans la galerie et dans 2G.4. Les artistes comprennent : Gustavo Aguirre Najera, Florent Aniorté, Mirella Bacco Mannina, Marie Bilodeau, Florinelle Blandin-Khabad, Adriana Brito, , Noémie Carrière-Larin, Kali Catterall, Maria Chabelnik, Lucie Chevillot-Versini, Alexea Clement, Lam Ky Anh Do, Catalina Edbrooke Donolo, Adèle Fuglem, Lai-Chun Fung, Justin Gapulan, Claudio Alejandro Garcia Rojas Avendano, Brianna Giampaolo-O'Connor, Sarah Guilbert, Min Hyung Kang, Romy Kieffer, Mary-Elizabeth Kroitor, Yaël Legris, Kalina-Sofia Mangrum, Malika Miller, Saba Mohammed, Noshin Nawar, Emy Sauvageau, Yang Zi Sun, Emily Wolski, Anna Yegupov, et Man Zou.

À partir du mercredi 24 avril, S.P.A.C.E. (Sciences Participating with Arts et culture in Education), présente PERSPECTIVES. Les étudiants, les anciens élèves, le personnel et le corps enseignant ont tous réfléchi à la manière dont les différentes perspectives sont créées, perçues et représentées. À travers une sélection pluridisciplinaire de nouveaux écrits, de photographies, d'installations, de vidéos, d'illustrations et de peintures, cette exposition est une enquête vivante et engagée sur la signification de la perspective, en mettant l'accent sur le genre, la parenté, la race et la production de connaissances.

Moridja Kitenge Banza, artiste multimédia reconnu, présente de nouvelles peintures et vidéos qui explorent les interstices de la politique personnelle, culturelle et mondiale. Son travail brouille souvent la réalité et la fiction, remettant en question les récits de l'histoire, de la mémoire et de l'identité. Né en République démocratique du Congo en 1980, il a étudié à l'Académie des Beaux-arts de Kinshasa, puis à l'École régionale des Beaux-arts de Nantes, en France.

En 2010, il a reçu le premier prix de la Biennale de Dakar, au Sénégal, pour sa vidéo Hymne à nous et son installation De 1848 à nos jours .

Rencontre avec l'artiste: Mercredi 27 février, 17 heures

Présence performative dans la galerie: Du lundi 4 au vendredi 8 mars, de 14 h à 16 h

Performance de clôture et finissage: Mardi 12 mars, de 16h à 18h

Hairdresser's Hymn to Venus est une exposition basée sur l'action qui se présente comme une reproduction du célèbre tableau de Botticelli, La naissance de Vénus (1450). L'œuvre reprend le mythe gréco-romain de la création en le réduisant à un ensemble d'actions qui génèrent chacune une croissance matérielle symbolique.