Consumed Consequences est une exposition d'art multimédia qui examine les coûts humains et environnementaux de la surconsommation et de la mode rapide. Des peintures à l'huile en forme d'autoportrait, stylisées comme des éditoriaux de magazines de mode, subvertissent les logos et transforment le langage séduisant de la mode en une réflexion sur le désir, la consommation et le caractère jetable. Une vidéo de campagne de mode fictive expose le fossé entre le glamour et l'exploitation, tandis que des caissons lumineux d'illustration numérique donnent de la présence aux vêtements et demandent aux spectateurs de reconsidérer leur relation avec ce qu'ils portent.

L'exposition Lifeboat: An Unnatural History présente au public des représentations allégoriques de la précarité transitoire et de la fuite migratoire. Inspirée par les expositions des musées d'histoire naturelle ainsi que par des événements historiques et actuels, elle évoque des enjeux sociaux, politiques, éthiques et culturels complexes qui se recoupent.

Le projet a débuté, en partie, en faisant des recherches sur la généalogie de ma famille et en découvrant une ancêtre, Anne Dodin, qui est arrivée au Québec en 1669 avec des dizaines d'autres jeunes filles françaises. 

La Warren G. Flowers Art Gallery est fière de présenter les travaux de fin d'études des étudiants en photographie commerciale de l'AEC. Glimpse Redux montre le travail de 13 étudiants, qui ont eu la liberté de montrer l'étendue et l'expérimentation qu'ils ont acquises à Dawson. Organisé par l'étudiant Jean Fred Bédard avec l'aide du professeur Denis Gendron.

Avec les œuvres de : Flore Michèle Boubila, Florence Boulianne, Kabil Bala Krishna, Jennifer Carmelo, Marina Afansiev, Pantea Pezeshkan, Jennifer Ann Dick, Serena Wolfe, Sara Elkady, Alma Perreault, Ana Isabel Duque, Noushin Bahraini et Jean Fred Bédard,

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Un catalyseur est une force qui dépasse l'entendement. Il incarne la force, le pouvoir et une volonté inébranlable d'aller de l'avant - de pousser plus loin et d'atteindre quelque chose qui dépasse le présent.

Un catalyseur est confiant, il dynamise le monde avec de la vitalité, un objectif et une direction affirmée. Il n'accepte pas le "non" comme réponse.

Un catalyseur fait naître quelque chose de nouveau avec détermination, en suivant son intuition là où elle le mène.

Il est tout à fait approprié que les étudiants de deuxième année en Arts visuels du Collège Dawson aient choisi Catalyst 25 comme titre de leur exposition de fin d'études.

Dans cette exposition, Sarah-Mecca Abdourahman explore les complexités de la mémoire et de la nostalgie dans sa recherche constante d'un lien avec les pays d'origine de ses parents, la Somalie et l'Inde. Une nostalgie qui peut être source de chagrin et de joie. En explorant ces émotions contrastées, l'œuvre d'Abdourahman oscille entre les thèmes de la hantise et de la guérison, évoquant le doux-amer. Sa nostalgie est tissée dans le tissu de couvertures peintes multimédias et d'installations qui évoquent à la fois l'innocence de l'enfance et ses cauchemars.

Depuis sa création en 1992, la Biennale de la Faculté des Beaux-Arts met en valeur les pratiques variées des enseignants du Département des Beaux-Arts, offrant aux étudiants et à la communauté l'occasion de découvrir leur travail en dehors de la salle de classe.

Leurs contributions à cette exposition couvrent une variété de médias - peinture, sculpture, photographie, techniques mixtes et mots écrits, entre autres - illustrant un engagement profond à la fois avec les pratiques traditionnelles et les nouvelles technologies. Les complexités liées à l'environnement (naturel et bâti) sont au cœur des nombreuses explorations que propose cette exposition ;

MAINTENANT PROLONGÉ JUSQU'AU 17 JANVIER !  

Avec les travaux de : Lucas Berry, Joshua Bubis, Zikai Chen, Dean Daltirus, Ashley Dumas, Renaud Duplessis, Jhosua Farid Pinzon Euan, Manekha Gadiano-Dimaano, Carol Hallak, Zhichao Huang, Xenia Jeffery-Off, Jasmeen Kaur, Dua Khan, Zachary LeMenn, Adèle L'Heureux-Hubert, Jordan Markle, Benjamin McAuley, Zachary Mercier, Cody Neglia, Michael Picardo, Hugo Santamaria et Trevon Shand.

Le département de Photographie du Collège Dawson présente Continuum, une exposition qui met en valeur les travaux des étudiants qui arrivent au terme de leur programme de trois ans. 

Cette exposition rassemble les œuvres de 11 des plus célèbres anciens élèves de Dawson ( Arts visuels ) et celles de leur ancien professeur, l'artiste, l'écrivain et le conservateur Giuseppe (Joe) Di Leo.

Célébrant le voyage réciproque et circulaire entre mentors et mentorés, l'exposition se concentrera sur les formes multiples du dessin : gestes abrégés, schémas esquissés, enregistrements fidèlement rendus, exécutés dans une gamme de traitements et d'approches sur n'importe quelle surface. Révélant les multiplicités et les méandres de l'existence humaine, ces artistes présentent le dessin comme un moyen de sonder, d'enregistrer et de rassembler des expressions vivantes de réalités imaginaires et complexes.

L’exposition individuelle In between you and me présente des œuvres choisies avec soin de Cassia Powell, artiste en émergence de Vancouver.

Cet ensemble d'œuvres développe des thèmes explorant ce que l'écrivain Gavin Butt appelle une "activité sociale qui produit et maintient les filiations de la communauté artistique", à savoir le commérage. Utilisant des sculptures molles et des peintures à l'huile, in between you and me explore l'intimité, la vulnérabilité, la narration d'histoires et la construction d'un monde par le biais de la peinture et d'une installation à base de fibres.

La Warren G. Flowers Art Gallery est fière d'offrir sa toute première résidence d'artiste estivale à une ancienne élève, Sylvia Trotter Ewens (Beaux-Arts, 2014). Sylvia utilisera le temps et l'espace pour faire avancer des peintures et travailler sur des projections dans le cadre de sa maîtrise en beaux-arts (peinture) à l'Université Concordia.

Elle écrit : "Il s'agit d'un ensemble de travaux tirés des écrits que j'ai faits sur le temps que j'ai passé à m'occuper des autres et à vivre la perte après le décès de ma mère. Dans ces écrits, j'ai utilisé le jardin comme une allégorie de ces expériences et j'ai abordé les souvenirs de cette période par l'écriture et la peinture comme un moyen de fusionner sa mémoire.