Article d'opinion : Ce que le Canada peut apprendre de l'approche de l'Allemagne en matière de recherche
Lors d'une récente tournée des universités et instituts de recherche de ce pays européen, nous avons rencontré des universitaires nord-américains attirés par bien plus que le strudel aux pommes, le wiener schnitzel et le chocolat fin.
Alors que la gouverneure générale Mary Simon a choisi de se rendre en Allemagne pour sa première visite d'État internationale et que la chancelière allemande Angela Merkel a quitté son poste après 16 ans, le Canada s'intéresse à cette puissance économique et de recherche.
En tant que quatrième économie mondiale, avec le troisième plus grand nombre de lauréats du prix Nobel et plus de trois pour cent du PIB investis chaque année dans la recherche et le développement, les Canadiens pourraient apprendre beaucoup de la réussite de l'Allemagne.
Le fait que Mme Merkel, chimiste quantique et ancienne physicienne, soit à la tête de l'Union européenne contribue grandement à soutenir la science et la recherche axée sur la curiosité. La chancelière allemande sortante s'est forgé une excellente réputation en prenant des décisions fondées sur la science lorsqu'il s'agissait d'aborder des questions politiques importantes telles que le COVID-19, le changement climatique et l'intelligence artificielle. L'engagement de l'Allemagne en faveur de la recherche et de la science va toutefois bien au-delà de l'impact de son dirigeant sortant. Il s'inscrit dans le contexte culturel et scientifique de toute la nation.
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