Investir dans les sciences humaines et sociales est la clé du redressement post-pandémique
La pandémie a peut-être braqué les projecteurs sur tout ce qui touche à la science, mais il faudra plus que des découvertes scientifiques pour que le Canada sorte plus fort de l'épidémie COVID-19. Dans un monde qui évolue rapidement, les décideurs politiques devront reconnaître l'importance des connaissances acquises grâce à la recherche en sciences humaines et sociales pour favoriser le rétablissement du COVID-19 et assurer un meilleur avenir aux Canadiens.
Au-delà de la crise sanitaire, la pandémie a mis en lumière une série complexe de questions socio-économiques - du racisme et de l'inégalité à la montée du populisme, de la pauvreté et des migrations humaines - et le Canada doit disposer des compétences et des connaissances adéquates pour y faire face avec succès. Le rôle essentiel que jouent les sciences humaines et sociales dans ce processus ne doit pas être sous-estimé.
Un nouveau rapport de la Fédération des sciences humaines et sociales note que les sciences humaines représentent plus d'un tiers des inscriptions dans l'enseignement postsecondaire au Canada et que les étudiants qui suivent ces disciplines - philosophie, sociologie, psychologie, économie, langues modernes, histoire et sciences politiques - s'assurent des carrières gratifiantes.
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